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L'ame des arbres

30 juillet 2012

E-cat : se chauffeur pour 20 euros par an dés 2013

E-cat : se chauffer pour 20 EUR par an dès 2013

Si tout se passe bien, vous devriez bientôt pouvoir adjoindre à votre chauffage central actuel un dispositif révolutionnaire de 400 à 500 dollars / euros vous permettant de chauffer votre maison avec une simple cartouche recyclable à base de poudre de nickel, pour moins de 20 dollars/euros par an.

Jusqu’il y a peu le prix du dispositif avait été estimé à 4000 dollars. Grâce à la volonté de son concepteur, l’ingénieur Andrea Rossi (1950), au partenariat industriel avec National Instruments aux Etats-Unis, et une fabrication hautement automatisée, le prix a été divisé par dix, de façon à couper l’herbe sous le pied des copies par retro-engineering qui ne manqueront pas d’apparaître une fois le système lancé à grande échelle. Objectif : 1 million d'unités domestiques par an à partir de début 2013. (*)

De la taille d’un ordinateur portable (le processeur a la taille d’un paquet de cigarettes) et d’une sécurité annoncée comme totale, ce système révolutionnaire dit de réaction nucléaire à basse énergie n’émet selon Rossi (et le professeur Focardi de l’université de Bologne) aucune radiation ni émission d’aucune sorte.

Le nickel est abondant sur Terre et n'est pas cher, mais il est toxique, surtout en poudre, et son traitement doit être fait par des professionnels. La quantité de nickel consommée dans le processus est extrêmement réduite. Pour fixer les idées, selon Andrea Rossi, un gramme permet de produire 23.000 mégawatt heure d’énergie (oui : vingt trois mille mégawatt heure).

L’E-cat est un système thermique révolutionnaire qui utilise de la poudre de nickel, une quantité infime d’hydrogène, un ou des catalyseurs spécifiques, de même que des radiofréquences permettant de faire travailler les forces de répulsion (Coulomb) entre particules subatomiques de façon avantageuse, un peu à l’image de ce qui se passe dans les arts martiaux orientaux.

Au lancement, le processus de préchauffage du système consomme 3000 watt pendant une heure. Puis, une fois lancé, la consommation électrique devient insignifiante, comme celle d’un ordinateur, tout en produisant une quantité extraordinaire d’énergie thermique, permettant de chauffer de l’eau de façon stable et contrôlée à 120°C. Le système peut être complètement arrêté en 30 à 60 minutes.

L’E-cat est en cours de certification aux Etats-Unis par UL (Underwriters Laboratories). Une usine entièrement robotisée serait en voie de construction, semble-t-il au Massachussetts, avec National Instruments comme partenaire industriel.

A terme (12-24 mois ?), le système pourra également produire de l’électricité, une fois surmontées les difficultés de maintien de la température à 400°C (plutôt que 120°C actuellement).

La distribution et la vente se fera via des partenaires agréés, de même que par Internet. Les précommandes, sans engagement financier, peuvent être faites via le site Ecat.com dès maintenant.

Etant donné les risques inhérents à ce type de projet industriel d’avant-garde, Andrea Rossi ne souhaite pas à ce stade ouvrir le capital à des investisseurs particuliers, n’acceptant le soutien que de milieux d’affaires et d’organisations souhaitant investir de faibles sommes d’argent.

En guise de conclusion, ces réflexions de Brian Josephson, prix Nobel de physique 1973 : « A ce jour, rien ne permet de douter des affirmations de Rossi  » et « des réacteurs de type Rossi sont déjà en production et selon Dennis M. Bushnell, Scientifique en chef de la NASA, ils pourraient "changer complètement la géo-économie, la géo-politique et résoudre [des problèmes] de climat et d'énergie". » (lien).

En cas de confirmation, il semble que nous soyons bel et bien en présence d'un changement de paradigme en matière d'énergie. Probablement comparable à la découverte de la roue ou du feu. 

A titre de comparaison, le projet internatinal de fusion (très) chaude ITER à Cadarache (France) dont onespère, à coup de dizaines de milliards d'euros d'argent public, pouvoir extraire les premiers kilowatts dans cinquante ans ou plus et dont on connaît mieux aujourd'hui le caractère hautement aléatoire et non raisonnable (voir l'article publié le 13/01/12 sur Mediapart : "Iter, le naufrage"), ... peut aller se rhabiller et surtout se réorienter vers un projet plus utile pour la société.

 

(*) Andrea Rossi travaille 14 à 16 heures par jour sur ce projet et l'interview dont est issu cet article a été réalisée le 15 janvier 2012 au terme d'une telle journée, entre 11 du soir et 1 heure du matin. Chapeau l'artiste ! Et tous nos voeux de succès.

 

Sources pour cet article :
L’interview d’Andrea Rossi le 15 janvier par le journaliste scientifique Sterling Allan (Pure Energy Systems News). Résumé en anglais ici. Transcription de l’interview en anglais ici.

Catalyseur d'énegie de Rossi et Focardi (Wikipedia)


Pour en savoir plus :
L’E-cat a déjà été présenté sur Agoravox le 22/12/11 (lien) et le 29/10/11 (lien), au lendemain de la démonstration semi-publique décisive à Bologne, d’un générateur E-cat industriel de 1 mégawatt.
 

Publications scientifiques (en anglais)

A detailed Qualitative Approach to the Cold Fusion Nuclear Reactions of H/Ni , Prof. Christos E. Stremmenos, Journal of Nuclear Physics, Mai 2011

Report on heat production during preliminary tests on the Rossi “Ni-H” reactor, Levi G., Université de Bologne, Italie, Janvier 2011

Hydrogen/Nickel cold fusion probable mechanism, Prof. Christos E. Stremmenos, Bologne Italie, Journal of Nuclear Physics, Décembre 2010

A new energy source from nuclear fusion, Focardi S. & Rossi A., Université de Bologne, Italie, Mars 2010,

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30 juillet 2012

Futures pandémies tant attendues: voici leur plan démentiel

Le 11 juillet dernier, le site Huffington Postpubliait une dépêche hallucinante de l'agence Reuters, une agence dont l'indépendance est bien sûr très loin d'être garantie... et pour cause, l'affaire semble être parfaitement "entendue", avec discussions des scénarios possibles à l'insu des principaux intéressés, c'est à dire les citoyens.

 

Que dit cette dépêche en substance?

 

Que des grosses quantités de volailles ont dû être récemment abattues dans différents endroits du monde, que le virus aviaire n'est plus qu'à trois mutations d'une forme possiblement léthale d'humain à humain et qu'étant donné le retard de plusieurs mois dans la fourniture des vaccins H1N1 par rapport au début de la (fausse) pandémie, il est nécessaire d'envisager une nouvelle approche en préparation de la prochaine pandémie, à savoir celle d'une vaccination "pré-pandémique" qui pourrait consister à vacciner l'entièreté de la planète sur 3 à 5 ans de temps contre un virus qui ne surviendra peut-être jamais!!

 

Voici en effet quelques passages de ladite dépêche:

 

"En 2009, durant la pandémie du virus porcin H1N1, les vaccins furent disponibles seulement des mois après que le virus se soit propagé à l'ensemble du monde- et même alors, il n'y en avait que pour un cinquième de l'humanité.

 

La prochaine foisles experts disent que nous aurons besoin d'une autre approche.

 

Les discussions portent sur une "vaccination pré-pandémique", consistant à immuniser les gens des années à l'avance contre une pandémie grippale qui ne s'est pas encore produite et qui pourrait ne jamais advenir, plutôt que de devoir créer des vaccins dans l'urgence, une fois que la nouvelle pandémie aura débuté."

 

"Même si vous modifiez la production à la faveur de technologies à haut rendement, vous allez encore en rester à devoir chasser le virus" estime David Salisbury, directeur de la vaccination en Grande-Bretagne dont les conflits d'intérêts accablants ont déjà fait d'ailleurs couler beaucoup d'encre.

 

"En un mot, la production actuelle ne résoudra jamais le problème. Vous aurez toujours au moins une, si pas deux vagues d'infection avant que vous ne puissiez obtenir des quantités suffisantes de vaccin pour pouvoir obtenir un effet significatif... Si vous voulez devancer le virus, vous devez adopter une stratégie différente."

 

"Les scientifiques et les fabricants de vaccins ont déjà produit des vaccins pré-pandémiques H5N1 et certains sont stockés par les pays riches comme les Etats-Unis et plusieurs gouvernements européens, à destination de leurs personnels médicaux de première ligne."

 

"Les sociétés pharmaceutiques ont également beaucoup investi dans la grippe et leur capacité de production de vaccins est montée en puissance, en partie à cause de la pandémie de H1N1 mais aussi en réponse aux appels de l'OMS pour une meilleure préparation aux prochaineS pandémieS."

 

" Des programmes annuels de vaccination anti-grippale ont également pris de l'ampleur ces dernières années, avec comme résultats que les campagnes saisonnières sont à présent bien établies dans de nombreux pays développés et dans certains pays en développement et que les structures existent donc pour vacciner beaucoup de gens."

 

"Alors, pourquoi ne pas mettre tous ces éléments ensemble et exécuter une campagne de vaccination pré-pandémique pour prémunir les victimes potentielles avec une vaccination pré-pandémique?"

 

La dépêche se poursuit alors de façon à la fois dramatisante (rappel des ravages de la grippe espagnole, rappel également d'une récente étude ayant prétendu que les décès dus à la grippe H1N1 pourraient avoir été sous-estimés et se monter à 500 000 dans le monde, rappel du taux de létalité de 60% de la grippe H5N1 jusqu'à présent,..) et  pseudo-rassurante (ouf, il y a notre sacrosainte solution, la vaccination prépandémique qui va tout arranger!). C'est ce qu'on peut appeler le tandem "PEUR-PROTECTION": on fait peur parce que cela va alors créer artificiellement un besoin de protection qui n'existerait pas sinon. C'est une technique marketing bien connue pour pousser à consommer.

 

Le communiqué rapporte alors les propos d'un scientifique de Novartis, Rino Rappuoli, qui avait écrit sur le scénario d'une pandémie de grippe aviaire dans le journal Science du mois dernier -Novartis, Sanofi et GSK étant les fabricants de plusieurs vaccins anti-H5N1 déjà approuvés-:

 

"Etant donné que des vaccins anti-H5N1 disposant d'une autorisation sont déjà disponibles, nous avons l'option de vacciner les individus à haut risque ou de vacciner plus largement, incluant les populations de pays individuels ou même de continents entiers, ou encore de vacciner l'entièreté de la planète." a-t-il écrit.

 

"Il s'agit seulement d'évaluer les coûts, la logistique et le risque d'implémenter une telle campagne de vaccination. Cela n'est pas impossible." a-t-il poursuivi.

 

"Une campagne mondiale pourrait prendre de 3 à 5 ans" a-t-il également estimé.

 

Dans la revue scientifique Expert Rev. Vaccines de févier 2012, les scientifiques italiens de l'Institut de Santé publique concluaient ainsi le compte-rendu de leur publication sur l'Aflunov, le dernier vaccin prépandémique en date de Novartis contre le H5N1: "En 2010, le Comité des Médicaments à Usage Humain de l'Agence européenne du Médiament a émis une opinion positive sur l'Aflunov et en janvier 2011, l'Aflunov recevait son autorisation de mise sur le marché. Ce vaccin pourrait être très utile dans l'éventualité d'une adaptation du virus H5N1 aux humains, ce qui pourrait causer une nouvelle pandémie."

 

Le Dr Albert Garcia, porte-parole du pôle "Préparation Pandémique" de Sanofi Aventis, lui, n'est pas aussi enthousiaste au sujet de ces vaccins prépandémiques auxquels il dit "ne pas croire", bien que Sanofi avait pourtant présenté un vaccin prépandémique contre le H5N1 lors d'une conférence internationale, pour lequel ils n'ont finalement jamais demandé d'autorisation de mise sur le marché (AMM).

 

La dépêche de Reuters, qui ne donne toutefois pas du tout la parole au moindre scientifique circonspect se permet d'écrire que l'approche d'une vaccination pré-pandémique paraît sensée, en se basant sur une précédente étude (probablement pas indépendante!) de l'Université de Leicester selon laquelle les gens déjà préalablement immunisés contre une souche différente de grippe garderaient une "mémoire immunitaire" utile en cas de contact avec un autre virus grippal, des années plus tard. C'est ce qu'ils appellent "l'effet d'amorce" mais que d'autres scientifiques appellent aussi le "péché originel", en expliquant au contraire que l'élaboration de futurs anticorps contre de futurs virus sera de moins en moins efficace au fil du temps, précisément parce que le modèle de fabrication de ces anticorps reste calqué sur "l'empreinte virale initiale", un peu donc comme une clé qui serait de moins en moins adaptée à la serrure à force d'essayer de la forcer. Par ailleurs, rien n'est non plus redit ici sur les autres récentes découvertes de chercheurs qui ont pu démontrer que la production d'anticorps n'était pas du tout essentielle dans la lutte contre différents virus.

 

Selon cette dépêche Reuters, qui prépare déjà habilement le terrain, la vaccination pré-pandémique pourrait limiter le tribut humain à payer en cas de pandémie.

 

L'OMS (comment s'en étonner...) semble bien sûr très enthousiaste au sujet d'une telle vaccination pré-pandémique, le Dr Nikki Shindo de l'Organisation ayant affirmé qu'il s'agissait d'une "excellente idée" en théorie. Pour le Dr Shindo, la vaccination permettrait de rendre la maladie moins sévère chez les gens vaccinés, de réduire les décès et de réduire la transmission virale (remarquez le glissement: on ne parle déjà même plus de leur éviter purement et simplement la maladie!)

 

Mais l'OMS est infiltrée par les fabricants or, comme le mentionne tout de même Reuters, "Cela ferait sûrement plaisir aux compagnies pharmaceutiques de se voir offrir une nouvelle opportunité d'accroître leurs capacités de production de vaccins antigrippaux, ce qui leur permettrait potentiellement de rééditer un bénéfice supplémentaire de 7 milliards de dollars, comme ils en ont connu un à l'hiver 2009-2010."

 

"Appliquer toutefois dans la réalité cette idée théorique de vaccination pré-pandémique est une autre affaire" écrit encore Reuters, précisant que cette idée séduirait peu les cénacles gouvernementaux, sans doute bien conscients de la difficulté à convaincre les gens de se faire vacciner (avec les risques d'effets secondaires que cela comporte)  et de dépenser ainsi dans le contexte actuel d'austérité des sommes folles contre une grippe inexistante.

 

Mark Clark, analyste pharmaceutique à la Deutsche Bank, " ne pense pas que le monde est prêt à payer pour quelque chose comme ça maintenant. Le moment n'est juste pas économiquement propice."

 

Mais pour quelqu'un comme le Pr Salisbury, "toutes ces stratégies méritent qu'on y réfléchisse". Il estime que les gouvernements ont encore un bon bout de chemin à faire avant de prendre ce genre de décisions qu'il estime "chargées de bon sens(sic!) et appuyées par la Science (rien que ça!)". On aura vraiment tout lu et tout entendu.

 

Commentaires et analyse d'Initiative Citoyenne:

 

Fotolia-poing-sur-la-table-.jpg

Cette dépêche démontre à quel point une certaine caste veut A TOUT PRIXet à l'exclusion de toute autre méthode de prévention, vacciner l'humanité entière, comme si l'inondation vaccinale de la planète entière chaque année via des milliards de doses de vaccins ne suffisait toujours pas!

 

Cette préparation morbide de la population depuis le début des années 2000 à la grippe aviaire est grotesque mais pour les pharmas qui tirent les ficelles, elle ne l'est évidemment pas.

 

Si vous êtes suffisamment attentifs aux différentes "pièces du puzzle" qui s'enchaînent et s'imbriquent sous vos yeux, vous verrez et vous comprendrez qu'il est assez peu probable que ce déploiement colossal de moyens financiers au sujet de la grippe aviaire ne finisse jamais par se solder par le moindre "retour sur investissements". Cela signifie que tout sera fait pour que la prochaine pandémie survienne. Avec des firmes comme Medicago qui ont déjà commencé à produire, sur ordre du Ministère américain de la Défense, des grandes quantités de vaccins pandémiques H5N1, le Pr Lina en France qui a été officiellement payépour faire se croiser les virus H5N1 et H1N1les équipes hollandaise et américaine qui ont évidemment fini par réussir à croiser ces virus pour rendre le nouveau venu à la fois très mortel et très contagieux, sans compter bien sûr tousles stocks de vaccins pré-pandémiques déjà constitués par de nombreux états,dont la Belgique, et entreprosés on ne sait où, il serait assez aberrant de penser qu'il n'y aura pas une suite.

 

Car oui, plusieurs magnats trépignent déjà en coulisses et tapent bel et point du poing sur la table: ils VEULENT vacciner la terre entière et dans leur esprit, nul doute à cela, vous y passerez également, que vous le vouliez ou non! (avec la bénédiction plus que probable de la très peu respectable OMS). Mme Testori de la Commission européenne non élue n'avait-elle déjà pas exprimé le même genre de souhaits publiquement le 5 octobre 2010?

 

Pas d'accord? Alors réagissez, agissez, tant qu'il en est encore temps.

http://www.initiativecitoyenne.be/article-futures-pandemies-tant-attendues-voici-leur-plan-dementiel-108467562.html

30 juillet 2012

L'ADN communique dans l'univers

Nous sommes des êtres multidimensionnels, çà fait des milliers d'années qu'on nous le cache, pour ceux qui ont un doute, les dernières avancées en neurosciences ou les recherches sur l'ADN nous le prouve, nous pouvons nous réveiller de ce sale cauchemar.......

 

L'ADN communique dans l'universsoumis par Alain-Yann Mohr

 

Plus les chercheurs se penchent sur les mystères de la nature, plus ils se posent de questions. Ils viennent de découvrir que notre ADN possède une sorte de conscience et qu’elle peut même communiquer, et ses prouesses sont telles qu’elles dépassent tout ce que l’homme a pu créer par la technique. Article en allemand, paru dans RAUM und ZEIT 13.8.2005, de Grazyna Fosar et Franz Bludorf, Berlin Traduction vers le français Isabella Heim

Plus les chercheurs se penchent sur les mystères de la nature, plus ils se posent de questions. Ils viennent de découvrir que notre ADN possède une sorte de conscience et qu’elle peut même communiquer, et ses prouesses sont telles qu’elles dépassent tout ce que l’homme a pu créer par la technique. Article en allemand, paru dans RAUM und ZEIT 13.8.2005, de Grazyna Fosar et Franz Bludorf, Berlin Traduction vers le français Isabella Heim

Science et religion se rapprochent à nouveau, après des siècles de fraternité ennemie. Dans sa 13ème encyclique, le Pape Jean-Paul II a dit: « La foi et la raison sont les deux ailes, grâce auxquelles l’esprit humain prend son essor et s’envole pour contempler la vérité ». Il existe déjà diverses théories par lesquelles les sciences naturelles et la conscience tentent de se réunir sous un seul toit. Nous voulons présenter un certain nombre de points de vue allant dans ce sens.

L’une des théories les plus intéressantes est sans aucun doute la nouvelle cosmologie de Matti Pitkänen, qui établit, pour la première fois, un lien entre la physique et la conscience. Le physicien finnois a postulé, il y a déjà quelques années, une brillante théorie sur la manière dont l’univers était constitué, avec, à la base, une nouvelle géométrie spatiale basée sur huit dimensions : la géo-métro-dynamique topologique (TDG). Dans cette théorie compliquée, difficilement compréhensible même pour les savants, les trous de vers (ou vermoulures) jouent un rôle important. Les « vermoulures» ont été nommées ainsi pour la première fois par le physicien John Wheeler. Il s’agit de microscopiques canaux de connexion à travers l’hyper-espace, qui apparaissent suite à des fluctuations et des variations du vide quantique. Cet étrange nom est le résultat d’une blague de Wheeler, qui a comparé ces structures à des trous faits par les vers dans une pomme.

La Théorie de Pitkänen est très provocante, parce que, pour la première fois dans l’histoire des sciences, elle tente d’établir une relation entre la physique et biologie, ce qui mène à une véritable cosmologie du vivant.

La biologie moderne, spécialement la génétique, s’occupe depuis longtemps de l’étude des molécules porteuses des gènes : l’ADN. Selon la théorie de Pitknen, l’ADN ne sert pas seulement à produire des protéines dans les cellules et de construire par cette voie le corps, comme on l’avait découvert. Selon le chercheur, le long de cette grande biomolécule, les vermoulures déjà mentionnées s’accolent et lui servent de canaux de communication.

Par cette voie, Pitkänen arrive à une toute nouvelle vision de l’ADN, dans laquelle des termes tels que conscience et perception s’intègrent et font leur entrée dans la physique. Il écrit : « les champs vermoulures magnétiques , qui sont greffés sur des membranes espace-temps, qui contiennent de la bio matière courante, sont de bons candidats pour l’explication physique du mécanisme de la perception.. Le magnétisme des vermoulures pourrait même être considéré comme la quintessence des systèmes vivants ».

Dans cette citation Pitkänen se réfère à l’hypothèse des mondes parallèles, d’Everett et Wheeler, selon laquelle notre univers ne serait qu’un univers parmi de nombreux autres univers, situés dans un hyper-espace dimensions plus élevées. Ces univers singuliers dans l’hyper-espace sont parfois également nommés feuilles (membranes) espace-temps.

Si l’on développe la pensée de Pitkänen, cela veut dire que la science est sur le chemin de prouver la relation que l’on soupçonne d’exister depuis longtemps entre la gravitation et la conscience. Plus précisément : la gravitation et la conscience forment des dipôles opposés.
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L’effet de l’ADN Fantôme

Une preuve sensationnelle pour la théorie de Pitkänen est basée sur les travaux d’une équipe de chercheurs interdisciplinaires de l’Académie de Sciences de Moscou, sous la direction du biologiste moléculaire et biophysicien, Dr. Pjotr. P. Garjajev.

Garjajev et son collègue, le physicien quantique, le Dr. Vladimir Poponin, ont fait une observation insolite en mesurant les vibrations émises par des échantillons d’ADN.

Ils ont irradié un échantillon d’ADN avec la lumière laser, et ont obtenu, sur un écran, un modèle typique d’ondes. S’ils enlevaient l’échantillon d’ADN, ces ondes ne disparaissaient pas, comme on pouvait s’y attendre, mais persistaient, sous forme de structure régulière, comme s’il y avait toujours un échantillon matériel. Comme l’ont démontré des expériences contrôles, ces ondes devaient provenir, sans aucun doute, de l’ADN qui n’était plus présent ! Une expérience à vide, c’est-à-dire sans échantillon, ne donnait qu’une courbe d’ondes aléatoires. L’effet était reproduisible à volonté, et on l’appelle, aujourd’hui, l’effet ADN Fantôme.

L’explication scientifique de ce phénomène est que l’ADN lui-même semble produire des ondes dans le vide (vacuum), à travers lequel une vermoulure magnétisée se produit, induite par la présence de matière vivante, qui peut persister, selon les cas, plusieurs mois – c’est ce que les recherches de Garjajev et de son collègue ont démontré.

Au début des années soixante, le biologiste britannique Rupert Sheldrake, de l’université de Cambridge a établi sa fameuse théorie sur les champs morphogénétiques. Chaque être humain, de même que chaque être vivant, laisse une trace invisible de son existence. Pour la première fois, Pjotr Garjajev a pu rendre visible cette trace dans un laboratoire.

La question est la suivante : à quoi sert cette trace ? Avec qui ou avec quoi « chuchotent» nos gènes ? Comment communique l’ADN, et dans quel but le fait-il ?

Le plus surprenant est que tous les résultats indiquent que l’ADN n’est soumis à aucune limitation, en ce qui touche à sa faculté de communication.

Hyper communication

D’après la théorie de Pitkänen, cette communication ne se fait pas de manière classique, mais à travers les vermoulures magnétisées, c’est-à-dire hors de l’espace-temps, soit à travers les dimensions plus élevées de l’hyper-espace. On parle de ce fait d’hyper communication.

Cette hyper communication ne paraît pas avoir un but limité ou particulier : elle représente un point d’intersection vers ou dans un réseau ouvert – un réseau de conscience ou réseau du vivant.

Comme dans l’internet, l’ADN peut :

• Introduire ses propres données dans ce réseau

• Extraire des données de ce réseau

• Etablir un contact direct avec d’autres participants de ce réseau.

On peut dire, d’une certaine façon, que l’ADN possède sa propre « page internet », qu’il peut « surfer » et qu’il peut « chatter » avec d’autres participants. Ce qui est plus incroyable encore, l’ADN n’est pas limité à sa propre espèce, comme on pourrait peut-être le croire. L’information génétique d’êtres différents peuvent également « échanger » entre eux
(entre différentes formes de vie). L’hyper communication devient donc la première interface à travers laquelle les formes d’intelligence les plus variées sont unies, dans l’univers, entre elles. 
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Une autre application très importante de l’hyper communication est représentée par la conscience de groupe, soit la possibilité, pour des groupes d’individus ou d’animaux, de pouvoir agir de manière coordonnées, comme un ensemble. Mais, comme le montrent les essais, la portée de l’hyper communication est encore plus vaste.

Les conséquences, concernant la compréhension du processus d’apprentissage chez l’humain, sont immenses.

Notre corps humain est constitué par des cellules, et chacune d’elles contient une molécule d’ADN. Nous savons à présent que par cette voie, des milliard d’antennes de communications sont constamment en action. Notre conscience, apparemment, ne s’en est pas rendue compte, à ce jour. Ou peut-être si ?

Au cours de l’histoire, il y a toujours eu quelques individus spéciaux qui ont fait évoluer l’humanité, par des idées révolutionnaires, scientifiques ou culturelles. Mais personne ne s’est sérieusement posé la question de la manière dont ceci était possible. (sauf pour Einstein, dont le cerveau a été découpé en tranches et étudié, et où l’on a découvert une part de glie plus élevée que la normale, ce qui est intéressant au vu des nouvelles découvertes sur la fonction des cellules gliales, n.d.t.)

On a parlé de créativité, donc de la faculté à penser de manière nouvelle et différente, de créer des réalités virtuelles qui ont pu être appliquées dans la réalité. Mais l’étincelle, l’inspiration, la découverte en elle-même, n’ont jamais été expliquées, n’étaient jamais le résultat d’une pensée logique et rationnelle. Toujours, il semblait qu’elle se présentait soudainement, comme une évidence, venue de nulle part.

Est-ce qu’une telle information pourrait procéder à travers les canaux d’hyper communication de l’ADN ? Et si oui, d’où vient telle? Est-ce qu’une telle hypothèse peut être prouvée ? Cette dernière question est la plus difficile.

La science exige, comme preuve, la répétitivité d’une expérience, dans des conditions contrôlées d’un laboratoire. Peut on provoquer la créativité ou l’inspiration en laboratoire, et générer dans un être humain un savoir jusque-là inconnu et inédit ?

Cette question pose un véritable défi, mais elle peut aussi être abordée, par des méthodes scientifiques actuelles, du moins partiellement.

Notre corps ne peut pas seulement générer de la lumière, sous forme de bio photons, mais il est également en mesure d’extraire de la lumière de l’environnement. Il peut même stocker cette lumière, notamment dans l’ADN, qui est également le plus impliqué dans la radiation bio photonique.

Par sa forme caractéristique de doublé hélice, l’ADN est une antenne électromagnétique idéale. D’une part, il est allongé, et par là une antenne droite qui peut très bien capter les impulsions électriques. D’autre part, il est également circulaire (vu d’en haut) et par là, il est aussi une excellente antenne magnétique.

Que se passe-t-il au niveau de l’énergie électromagnétique captée par l’ADN ? Elle est tout simplement stockée, par le fait que la biomolécule géante se met à vibrer, par résonnance. Ce système, en physique, s’appelle un oscillateur harmonique.

Un tel oscillateur rend également l’énergie qu’il a stockée, au bout d’un certain temps, ce qui peut être observé en chambre noire, et le temps nécessaire pour ce processus est une mesure pour sa faculté de stockage énergétique. Les physiciens appellent cela la capacité (mesure) de résonnance.

On a découvert que la résonnance de l’ADN est nettement plus élevée que dans les systèmes d’oscillateurs techniques
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des laboratoires de physique. Ce qui signifie que les pertes d’oscillation sont minimes. Cette découverte corrobore ce qu’on suspectait depuis longtemps : l’ADN est un supraconducteur organique, qui plus est, travaille à température du corps ! La science a encore beaucoup à apprendre de la nature…

Chaque être humain porte donc dans chaque cellule de son corps une « mécanique » technique surpuissante : un micro chip avec trois gigabits de capacité de stockage, qui extrait des information électromagnétiques de son entourage, qui stocke cette information et qui peut également la retransmettre, possiblement modifiée.

Les données techniques de l’ADN en tant qu’antenne oscillatoire sont rapidement établies. Nous savons que la molécule d’ADN fait environ deux mètres, étendue, ce qui veut dire qu’elle a une fréquence propre de 150 Mégahertz. Encore un chiffre intéressant, car cette fréquence est insérée dans la bande spectrale des micro ondes, des télécommunications et du radar. Nous utilisons donc la même bande fréquence à des buts de repérage et de communication. Simple hasard ?


La déduction s’impose : les ondes mobiles de télécommunications peuvent influencer directement notre ADN. L’ADN peut également stocker toutes les ondes harmoniques de 150 Mégahertz, donc également la lumière visible. La 22. octave de 150 Mégahertz se situe exactement dans ce domaine. La couleur de cette émanation de lumière, d’ailleurs, est le bleu. Est-ce un hasard que la réfraction de la lumière du soleil, par la Terre, fait que, depuis l’espace, elle apparaît comme la planète bleue, et que le ciel apparaît bleu ?

L’ADN Micro chip

Tandis que l’équipe de Pjotr Garjajev étudiait surtout l’aspect software de l’ADN, Dr. Ehud Shapiro et son équipe, du Weizmann Institute of Science à Rehovot, en Israel, se penchait sur les questions du hardware qui va avec. Leur travail est un autre pas important pour la compréhension du bio ordinateur ADN. Mais en même temps s’entrouvrent des perspectives qu’on peut considérer comme particulièrement dangereuses. C’est le premier pas vers un lien machine humain, qui pourrait mener vers une totale programmation de l’être humain, basé sur l’ADN.

L’une des principales différences entre l’ADN et votre ordinateur est que le bio ordinateur ADN ne peut pas fonctionner de manière isolée. L’ADN n’est pas un ordinateur complet, mais plutôt une sorte de software qui nécessite, pour son fonctionnement, un « entourage/environnement hardware », qu’il trouve dans la cellule vivante, dans laquelle se trouvent aussi des enzymes, qui en tant que « hardware » peuvent avoir accès au programme ADN et le mettre en route, en dirigeant la synthèse de protéines dans la cellule. C’est ainsi que le corps est bâti, et que la vie est maintenue.

Que se passerait-il si l’ADN dans une cellule activait un autre programme que celui qui est le sien ? Les enzymes de la cellule produiraient alors autre chose que ce qu’elles font habituellement. Savoir si cela serait positif ou négatif pour le corps, c’est une autre affaire et dépendrait de manière déterminante de ce programme modifiée.

Dans la nature il existe déjà quelque chose de ce genre : ce sont de microscopiques organismes, constitués par une molécule d’ADN et par une couche externe de protéines. On les appelle virus, et ils sont à la limite entre l’inanimé et le vivant, ce sont pratiquement des « programmes software en attente », comme un CD-ROM dans votre bibliothèque, qui a besoin que vous l’insériez d’abord dans votre ordinateur avant de pouvoir lire le programme stocké.

Les scientifiques ont déjà copié les méthodes des virus. L’équipe de Shapiro, par exemple, a réussi à enseigner à compter à des bio ordinateurs ADN, in vitro. Les trillons et multiples trillions de « microprocesseurs » en solution aqueuse travaillent environ 100'000 fois plus vite que n’importe quel ordinateur actuellement existant, et génèrent même leur propre énergie dont ils ont besoin pour leurs prouesses de comptage.

Pour pouvoir dérouler ce programme, un ADN spécialement configuré doit être mis en solution aqueuse, qui contient les enzymes nécessaires à la fonction correcte du bio ordinateur, comme c’est le cas dans une cellule vivante. Le processus de calcul se passe alors dans les myriades de mini bio ordinateurs en réseau, à vitesse de l’éclair, par reproduction de l’ADN qui active les enzymes productrices de protéines. Après un certain temps, on vérifie les chaînes
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d’ADN produites, pour connaître le résultat du calcul du programme. Actuellement, cela se fait par le biais de l’analyse des molécules de l’ADN (le fameux « fingerprinting » ou empreinte génétique).

L’Onde Soliton de l’ADN

Le stockage de lumière et d’information dans l’ADN se fait au moyen d’une onde spéciale, qu’on appelle également onde soliton et qui entoure la molécule d’ADN. C’est une onde non linéaire, soumise à des lois compliquées appelées la grille de Fermi-Pasta-Ulam. Une onde soliton est une unité dynamique, fermée en elle-même, qui ressemble à une particule de matière. Les ondes soliton sont très extraordinairement longèves et ne modifient pratiquement pas leur forme. Elles sont donc prédestinées pour conserver et stocker, sur une longue durée, des modèles d’information. Il est probable que ces ondes contiennent encore un potentiel humain absolument inédit.

L’ADN fractal et le temps

Par la forme spéciale Fermi-Pasta-Ulam de l’onde soliton dans l’ADN, on obtient de nombreuses répétitions et autoreproductions dans le code génétique, un phénomène sur lequel insiste Garjajev. Cela signifie que l’information dans l’ADN des cellules n’est pas lue de manière linéaire, comme on lit un livre, par exemple. Au lieu de cela, la lecture se fait
en avant et en arrière/arrière en avant, et de haut en bas/bas en haut, et parfois on retourne au point de départ.

La communication de l’ADN suit également des règles fractales. Elle se fait de manière non locale. C’est-à-dire que l’ADN peut communiquer avec des porteurs d’informations très lointains, sans être soumis à l’espace ni au temps. Cet effet repose sur un paradoxe scientifique bien connu appelé Einstein-Podolski-Rosen, ou Paradoxe EPR. Il explique que deux particules de matière, qui ont été ensemble une fois et qui ont été séparées, restent pour toujours en relation. Si l’une des deux particules, par la suite, est soumise à une modification, l’autre particule réagit immédiatement, même si
elles sont séparées entre-temps par des années-lumière.

La structure fractale de l’onde Soliton de l’ADN rend possible, selon Garjajev, que l’ADN communique avec des porteurs d’information, peut-être même dans l’espace. Par sa non localité de cette forme de communication, la loi bien connue de cause à effet est invalidée. Garjajev écrit : « Cause et effet ne sont pas séparés par le temps, si l’on conçoit le temps comme un chemin vers l’organisation d’une chaîne d’événements. Ceci nécessite une unité temporelle fractale compliquée, c’est pourquoi Einstein ne l’a pas reconnue ».

D’après Garjajev, cette non localité quantique est une fonction clé de l’auto organisation de la matière vivante. Non seulement il y a des formes de communication non physiques, comme, par exemple la télépathie. La communication EPR peut transmettre, en temps zéro, une multitude de données, par exemple à travers le scanning rapide et automatique de la polarisation de photons.

La question qui se pose alors est pourquoi les êtres humains ne communiquent pas tout le temps de cette manière ? Pourquoi notre corps a-t-il développé un système nerveux, qui communique pratiquement à une vitesse d’escargot avec seulement 8-10 m par seconde ? Garjajev en connaît la raison: la communication EPR est beaucoup trop rapide pour le traitement des données par notre conscience, tout simplement !

Le proto langage de l’humanité ou langue souche

Nous parlons aujourd’hui du code génétique de manière routinière, comme d’un système de codage d’information. Mais la génétique n’a pas dévié par rapport à cette position et a continué son travail en utilisant uniquement les outils de la chimie, au lieu de demander du renfort de la part d’experts en linguistique.

Il en a été tout autrement à Moscou, dans le groupe de Garjajev. Pour l’examen de l’ADN, ils ont également consulté et inclus des linguistes.

Lorsqu’on étudie une langue, un étudie des lois comme, par exemple, la syntaxe (règle pour construire des mots à partir de lettres), la sémantique (règles du contenu des mots) ainsi que les bases de la grammaire.

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Si l’on applique les résultats scientifiques au code génétique, on s’aperçoit que ce code est soumis aux mêmes règles que nos langues humaines. Bien entendu, ce ne sont pas les règles d’une langue en particulier, p.ex. le Russe, mais des règles tellement fondamentales qu’elles existent et sont à la base de toutes les langues de l’humanité. La « construction »du code génétique peut donc être relationné à n’importe quelle langue humaine !

Depuis des siècles, les scientifiques recherchent le langage souche dont seraient issues toutes les langues du monde… Pjotr Garjajev et ses collègues l’ont peut-être trouvé.

Dans des expériences du groupe de Moscou, il a pu être démontré que les codes existant dans l’ADN ne sont pas seulement utilisés pour construire des protéines dans notre corps, comme c’est le cas pour les gènes. Le code de l’ADN est plutôt utilisé pour la communication, plus précisément, pour l’hyper communication. Ou exprimé autrement : la nature est en réseau (online) !

Et cela implique la totalité de la nature, dont les codes génétiques suivent une grammaire très similaire.

Comme l’a si bien exprimé le Dalai Lama : « Tout ce qui est, n’est que parce qu’il communique avec le tout. Rien n’existe en soi, individuellement ; Tout a son existence dans l’autre » !

Les auteurs :

Grazyna Fosar a étudié la physique et l’astrophysique.

Franz Bludorf la mathématique et la physique. Après avoir longtemps travaillé dans la recherche scientifique, ils ont fait une formation comme thérapeutes guérisseur et hypno thérapeutes. Ils vivent et travaillent à Berlin.
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http://www.arsitra.org/yacs/articles/view.php/979/l-adn-communique-dans-l-univers-soumis-par-alain-yan-mohr

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